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 Article : Les champs morphiques dans l’affaire de Rennes-le-Château

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MessageSujet: Article : Les champs morphiques dans l’affaire de Rennes-le-Château   Article : Les champs morphiques dans l’affaire de Rennes-le-Château EmptySam 7 Mai - 21:06

Article : Les champs morphiques dans l’affaire de Rennes-le-Château Sheldrake_01


Le secret

Les différentes informations qui sont communiquées ici ont pour objectif de mettre en exergue que le territoire de l’Aude est un territoire, de par sa position géographique, historique, mais aussi symbolique, qui renfermerait, détiendrait, séquestrerait un secret, voire plusieurs, dont l’origine et l’époque nous sont inconnues. Il n’est pas possible de présenter ici tous les éléments constituant le ‘fond’ de ce constat tant ils sont nombreux. Seuls les moins connus, pour l’instant, prennent place ici.

Après de nombreuses recherches, il semblerait que plusieurs dépôts se situent sur le territoire de l’Aude… ceux-ci, évidemment, n’étant pas forcément tous en étroit rapport avec « LE SECRET ». Pour notre étude, nous prendrons comme socle de travail : les recherches de Rupert Sheldrake, biologiste et physicien (théorie des champs morphogénétiques) ; le « transport de la mémoire des événements par la forme » de Carl Gustav Jung (théorie des archétypes) ; « la transmission des informations par les symboles » et les différentes découvertes en physique Quantique… Nous nous en tiendrons à quelques références essentielles car la liste générale est bien trop longue.

Nous pouvons, par déduction analogique, conclure qu’un «SECRET UNIQUE» s’est transporté (ou a été transporté) et mis à l’abri dans l’Aude. Ce savoir s’est transmis, de manière inconsciente, à travers le temps et l’histoire, par l’intermédiaire de plusieurs individus, volontaires ou non, et quelques faits historiques.

Certains des personnages de cette histoire étaient au courant et d’autres pas. Le but de ce bref exposé n’est pas de convaincre, ni d’orienter l’affaire de RLC sur un plan scientifique. Seules les sciences citées précédemment peuvent apporter un éclairage rationnel sur l’origine de ses mystères, leur disparité, ainsi que leur pérennité… Mais certainement pas son identité, ni son origine.



Champ magnétique et chronologie


Article : Les champs morphiques dans l’affaire de Rennes-le-Château Champmag_01Nous avons de l’Histoire une vision toute scolaire. L’historien sait, sans doute, que les chevaliers de Saint Jean de Jérusalem choisirent pour emblème la croix blanche à huit pointes qui représente le symbole officiel des huit béatitudes désirables.

Cependant, ce qu’il ne sait pas, c’est que cette formule initiatique traduit la direction centripète des forces… Il en va ainsi de nombreux exemples qui pourraient être cités ici.

Plus que jamais, la science du temps s’est imposée. Plus que jamais, les grands du siècle ont tenu compte des données chrono-cosmographiques, comme le faisaient les prêtres d’Israel, de Karnak, d’Égypte, ou de Teotihuacan.

Des chercheurs ont bien observé que le tracé du plan de l’écliptique est parallèle à la zone de civilisation, et que le déplacement vers l’ouest du plan vernal correspond à la marche vers l’ouest de la civilisation.

En échange, et très curieusement, personne ne tient compte de la déclinaison magnétique.
On sait que le globe terrestre baigne dans un champ


invisible de forces magnétiques. Une aiguille aimantée, librement suspendue, prend la direction du nord. On reconnaît cependant que la boussole n’indique presque jamais le nord vrai, le méridien magnétique ne se confondant pas avec le méridien géographique du lieu. On appelle « déclinaison » l’angle existant entre ces deux méridiens.

Par ailleurs, l’angle que détermine l’aiguille aimantée avec le plan horizontal indique l’inclinaison. De ces observations, l’astronome peut déduire la variation séculaire de la déclinaison magnétique.

En 1541, une première observation faite à Paris révèle une déclinaison de 7 degrés 30’ E. La progression vers l’est se vérifie jusqu’en 1581, la déclinaison atteignant l’angle limite de 11 degrés 30’. A partir de cette date, la déclinaison magnétique rétrograde.

On observe qu’en 1666, le méridien magnétique coïncide avec le méridien géographique de Paris. Passant ensuite à l’ouest du nord vrai, la déclinaison atteint progressivement l’angle limite de 22°30’ en 1815. Depuis 1815, la déclinaison se réduit et l’aiguille aimantée revient vers le nord vrai.

Pour le savant, la détermination de la variation séculaire de la déclinaison magnétique constitue une opération d’un seul bloc. Il résulte pourtant des observations ci-dessus mentionnées :

- Que la limite E de la déclinaison magnétique se situe autour du 11e degré.
- Que la limite W se situe autour du 22e degré.
- Que la déclinaison totale est de l’ordre de 33°.
- Que la déclinaison est devenue occidentale à partir de 1666.
- Que la déclinaison occidentale (de 1666 à 1815) est le double de la déclinaison orientale.

Si l’on examine la période comprise entre les observations de 1541 et de 1581, c'est-à-dire la phase la plus orientale de la déclinaison, on remarque qu’elle coïncide d’abord avec des événements importants concernant les contacts Occident-Orient, dans le sens WE : La Palestine devient turque, les portugais atteignent Canton ; c’est aussi l’époque de la grande flambée occultiste.

Dans la rétrogradation de la déclinaison magnétique qui va de 1581 à 1666, on assiste au contraire à un mouvement historique inverse, dans le sens EW : Le traité de Westphalie rattache les juifs d’Alsace à la France… tandis qu’en Angleterre, les juifs reviennent sous Cromwell ; l’occultisme est représenté par valentin Andrea et Knorr Rosenroth.

Or, en 1666, le méridien magnétique coïncide exactement avec le méridien géographique de Paris. C’est le règne du ‘roi Soleil’. La déclinaison occidentale approchera du 22° et, en 1815, ce sera Waterloo.

Dans son roman hermétique « Les Noces Chimiques », paru en 1661, le Rose-croix Valentin Andreae conte l’aventure du légendaire Rosencreutz, qui trouve le chemin du Palais Royal grâce à l’aiguille magnétique.


L’étrange évêque cathare Pierre Poulain


Article : Les champs morphiques dans l’affaire de Rennes-le-Château Asmod05_rlcEn ce qui concerne l’affaire de Rennes-le-Château qui nous préoccupe, la première trace historique mentionnant un trésor date de 1258 et plus précisément du jour de noël 1258. Cette mention se trouve dans les archives de l’Inquisition et concerne un évêque cathare : PIERRE POULAIN.

Pierre Poulain est cité comme la personne qui aurait dissimulé un trésor dans un bois, près de la Bézole… et plusieurs hérétiques notoires s’activèrent à rechercher ce précieux dépôt.

Pierre Poulain est le dernier évêque connu pour le Carcassès.
ent


entretient des liens étroits avec la famille d’Hautpoul Félines, dans le secteur de la montagne noire.
Petite digression, il est certain, d’après les études faites par les historiens, que PIERRE POULAIN a organisé son départ, pour aller à la Bézole.

En échange, il n’est fait état nulle part du fait que le trésor ait été retrouvé par les autres hérétiques. Le plus étonnant est que toute cette histoire disparaît des sources documentaires concernant le Carcassès et l’évêque cathare PIERRE POULAIN. Il ne sera jamais plus question de lui ni de son trésor, dans aucune archive civile… Après Noël 1258, il disparaît sans laisser la moindre trace. Les historiens qui tentèrent de reconstituer cette affaire et d’en savoir plus… sans succès… appellent cette énigme le « MYSTERE PIERRE POULAIN ».


La deuxième mention historique concernant un trésor dans l’Aude est citée dans « la Muse historique » de J. Loret (1650 à 1665). On y lit curieusement que l’évêque Nicolas Pavillon s’est trouvé mêlé à un procès concernant de l’or en grande quantité découvert dans sa contrée ...
A ces constats, il faut ajouter que JEAN DE DOAT, président de la chambre des comptes de Navarre, est à l’origine de la copie de 258 volumes de très nombreux documents sur l’histoire des provinces du sud-ouest de la France et principalement du Languedoc.

L’essentiel de ces documents concerne le Moyen- Age. Les recherches de DOAT commencèrent en 1663 et finirent en 1669. Ces travaux de recherches furent curieusement commandés par Colbert, et les dépenses occasionnées s’élevèrent à plus de 50.000 livres. Colbert décida de mettre fin à la mission documentaire de manière brutale et sans aucune explication… après plus de sept ans d’un travail titanesque.


Les secrets de Colbert

Il faut également savoir un autre élément des plus insolites. Le 3 février 1663, sont réunis Perrault, l’érudit Jean Chapelain, le théologien Amable de Bourzeis et l’abbé Jacques Cassagne (écrivain et prédicateur). Ils sont convoqués en grand secret par Colbert les informant de leur nomination d’office à un conseil restreint chargé de sélectionner les inscriptions et devises inscrites sur les monuments royaux ainsi que les emblèmes ou légendes ornant les tapisseries et les médailles.

Cet intérêt subit pour ce genre de sujet, tout aussi fascinant soit-il, ne paraît pas nécessiter une réunion secrète ou des nominations imposées d’office à de tels personnages… à moins qu’il n’y ait eu des impératifs soigneusement ‘occultés’ ?

Nous pouvons nous rendre compte que la déclinaison magnétique concernant l’époque de ces événements correspond à l’émergence historique d’un trésor important dans l’Aude.
En 1815, date à laquelle la déclinaison occidentale approche du 22°, force est de constater qu’un trésor refait son apparition à cette époque… et se referme à la mort de H. Boudet.

Conclusion provisoire

Si cette théorie s’avère juste, il s’agit maintenant de vérifier la déclinaison magnétique de 1258 et sa position. Si les nombres sont tout aussi parlants que ceux évoqués plus haut (11°, 22°, 33°), nous aurions une preuve évidente que cette déclinaison s’oriente en annonçant le prélude d’un grand événement historique.

Des chiffres et des nombres comme repères

Article : Les champs morphiques dans l’affaire de Rennes-le-Château Celtique_05L’abbé H. Boudet, dans son livre « la Vraie Langue Celtique et le cromlech de Rennes-les-Bains » (1886) fait état, page 268, de l’observatoire de Paris (méridienne de Cassini).

Il affirme que « En prenant pour point de départ les caves de l’observatoire de Paris, qui sont à 28 mètres au-dessous du sol, et où le thermomètre marque constamment + 11 degrés centigrades, on trouve en moyenne un degré de plus de chaleur pour chaque trente mètres de profondeur etc… ».

Si nous prenons les nombres 11 (degrés centigrades) et 30 (mètres de profondeur), par le jeu des valeurs numériques, ils nous donnent ceci : 30 + 11 (soit 1+1 = 2) = 32. A ce nombre nous ajoutons la croix (+ 11 degrés) qui symbolise dieu, donc le 1… ce qui nous donne 32 +1= 33.
Cependant, il nous manque le 28 de « 28 mètres au-dessous du sol », également cité peu avant.


Une phrase plus loin, H. Boudet écrit : « Le point de profondeur extrême du siphon serait à peu près à douze cent trente mètres » (1230). Puisqu’il est question de termes de profondeur, nous allons les ajouter : 1230 (douze cent trente mètres) + 28 (mètres au-dessous du sol) = 1258… ce qui nous donne la date correspondant au trésor de l’évêque PIERRE POULAIN, cité plus haut !


Tous ces nombres donnent 11, 33, et… 22, puisque 33-11=22. A ces derniers nous ajoutons également le 30 des ‘trente mètres de profondeur’. Tout cela, n’en doutons pas un instant, n’est bien sûr qu’un simple hasard mathématique que nous pensons utile de souligner à toutes fins utiles!

A l’issue de ce rapide parcours, nous pouvons nous demander si H. Boudet n’aurait pas été victime du champ morphique du biologiste Rupert Sheldrake (théorie du transport de l’information par un champ, dit champ morphique) !?


Bibliographie sommaire

- Julien Roche : « Une église Cathare, l'évêché du Carcassès. 1167 au début du XIVe siècle. »
Aux éditions L' HYDRE.
- Michel Roquebert : « Les cathares 1244-1329 ».
- Jean Christian Petitfils : « LouisXIV ».
- A-D. Grad : « Le temps des kabbalistes » Editions La Baconnière.
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